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Nous avions visité ce site en 2007 avec notre petit fils. Bonne découverte historique ...
Sur cette photo nous apercevons notre petit fils écoutant les explications des guides au sujet de ce tumulus.
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Bonjour nous avions visité ces grottes en 1978. Nous avions acheté des diapositives et maintenant je viens de les scanner. Je vais essayer de vous faire découvrir ces grottes très particulières. Beaucoup d'énigmes sur ces doigts coupés...
Bonne découverte à tous.
Je vous joins aussi un lien intéressant pour vous situer avec le temps et l'endroit.. Veuillez cliquer : ICI ou Làen attendant je vous poste quelques photos.
Bonne journée et bonne découverte historiqueJean- marie
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Nous avions acheté sur place ces magnifiques Diapositives que j'ai scannées. Il était impossible vu l'éclairage de faire la moindre photo.
Voici un article intéressant sur ces lampes que nous appelons " lampes au carbure " oui mais d'acétylène ..
La lampe à acétylène a été conçue par le Français Henri Moissan en 1892.
L'acétylène, un composé chimique hydrocarbure de la classe des alcynes de formule brute C2H2 a été découvert par Edmund Davy en Angleterre en 1836.
En 1862 l'acétylène peut être synthétisé grâce au chimiste français Marcellin Berthelot qui parvient à fabriquer ce gaz à partir de Carbone et d'hydrogène sous l'action d'un arc électrique, dans un appareil surnommé « œuf de Berthelot ».
En 1892, le gaz acétylène est produit de manière industrielle grâce au procédé découvert par le pharmacien français Henri Moissan, par hydrolyse du carbure de calcium obtenu par la fusion à très haute température du coke et du calcaire, dans un four à arc électrique. Au Canada, un autre chercheur va obtenir les mêmes résultats: Léopold Wilson.
Avec l'industrialisation de la production de carbure de calcium en Europe et aux États-Unis, on va pouvoir développer des systèmes d'éclairage autonomes, des générateurs miniatures qui vont très simplement domestiquer cette réaction entre l'eau et le carbure de calcium1.
L'acétylène fut également utilisé à petite échelle dans des applications d'éclairage public. Ainsi la Ville de Callac située dans le département des Côtes-d'Armor et la région Bretagne s’équipe d’un éclairage public à acétylène en 1904. Ce système d'éclairage dura jusqu'à la fin de la Première Guerre mondiale et les années 20 virent l'arrivée de l'éclairage électrique. L’acétylène arrivait un peu tard pour remplacer dans l’éclairage public le gaz de ville dont l’utilisation avait été révolutionnée en 1886 par l’emploi du manchon dû à Carl Auer von Welsbach; si, en 1910, un millier de villes avaient adopté l’acétylène, le développement de l’éclairage électrique allait s’opposer à l’extension de cette utilisation2.
La production de carbure de calcium a beaucoup diminué depuis que l'acétylène est produit par combustion partielle de méthane et par craquage des hydrocarbures.
Entre 1901 et 1910, le Français Charles Picard, d’après une idée d’Henry Le Chatelier remontant à 1895, invente le chalumeau oxy-oxyacétylénique qui est une autre application de l'acétylène.
En France, il n'existe plus aucune production industrielle française de carbure de calcium depuis l'année 2000.
La lampe que nous avions utilisé ressemblait plus à la photo du dessous que celle précédente.
La grotte de Niaux
Je suis étonné de lire que la visite est maintenant possible ? .. voici le lien pour en savoir d'avantage sur cette magnifique grotte : ICI
Grotte de Niaux - Tête de bison
Grotte de Niaux - Bison
Grotte de Niaux - Bison
Grotte de Niaux - Bisons
Grotte de Niaux - Bouquetin
Grotte de Niaux - Cerf et Cheval
Grotte de Niaux - Cheval
Grotte de Niaux - Cheval
Grotte de Niaux - Cheval
Grotte de Niaux - Tête de Cheval
Grotte de Niaux - Tête de Cheval
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Soyez indulgent sur la qualité de ces photos qui étaient des diapositives scannées. Avec le temps les couleurs se sont fanées.
La tour Sud du château a été démolie la semaine passée. Entre volonté municipale ou conservation du patrimoine, difficile d'assurer la préservation d'un édifice qui n'est pas classé.
À chercher le château de Niaux, le voyageur se heurte à une première difficulté. Où est-il ? Le novice finira par le trouver, près de l'actuelle Mairie, mais le constat est là. Cette bâtisse ne possède plus de véritable identité architecturale. Et pour cause ! Construit entre le XIVe et le XVIe siècle, une partie a ensuite été ajoutée au XVIIe siècle. Après la Révolution, la bâtisse a été morcelée en plusieurs lots d'habitation. Aujourd'hui, c'est la municipalité qui en possède la majeure partie.
Sa dernière acquisition en date : la tour Sud, et la partie attenante. À la suite du décès de Pauline Salas, la famille décide de faire un legs à la Mairie. « On a reçu cette donation en mars dernier, confie Christian Derieu, le maire du village. Ce bâtiment n'ayant jamais été classé, il n'y a pas de mesures particulières pour sa préservation ». À en croire le maire, « l'intérieur de la tour était dans un état de vétusté avancé, il y avait des risques ». Le conseil municipal se réunit alors et décide, « à l'unanimité », la destruction de la tour et la constitution d'un projet architectural. Le projet validé et le permis de construire accordé, les travaux commencent. « À côté de la tour et du bâtiment que nous avons reçu, il y a la salle communale et le garage municipal, qui est minuscule. Nous allons donc réaliser un agrandissement du garage, ravaler la façade de la maison conservée, refaire la toiture, réhabiliter l'intérieur de la maison afin d'en faire un appartement, créer un espace vert et un parking de 3 ou 4 emplacements à la place de la tour ». Quant à la râle de certains citoyens, le maire répond « le château n'est pas classé, et personne ne s'est jamais manifesté jusqu'à présent pour sa préservation ».
« Cette démolition est inacceptable »
Du côté des opposants, le son de cloche n'est pas le même. Incompréhension, révolte contre ce qui est considéré comme une atteinte à la conservation du patrimoine nausien. « Je suis aussi démoli que la tour, confie Max Déjean, propriétaire fondateur du musée de Niaux. C'était la tour la plus ancienne de l'édifice, elle était antérieure au XVIe siècle au vu des meurtrières sur le flanc, l'escalier extérieur, lui, datait du XVIIIe siècle. À la fin des années 1970, l'autre tour avait été restaurée par une ancienne municipalité, alors qu'elle semblait en bien plus mauvais état que celle-là ».
Entre culturels et administratifs, le débat sur la conservation de ce château composite ne semble pas prêt d'être terminé.
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